De janvier à novembre 1961, l’architecte et le Bureau d’Études et de Réalisations Urbaines (B.E.R.U) étudient le quartier Saint-Martin et mènent une étude détaillée sur trois îlots portant à la fois sur la datation et l’état du bâti, ainsi que sur les données socio-économiques. Cette maison avoisinait en face sur la place des halles anciennement de Saint-Clément , l’église Saint-Clément qui fut bâtie au XIIe siècle, reconstruite et embellie en 1462 sur décision de Jean Briçonnet puis de nouveau modifiée au XVIe siècle. Le secteur nord dit Plumereau et le secteur ouest dit du Petit Saint-Martin, entre la rue de la Victoire et la place des Halles, et le secteur sud entre la place Gaston-Paillhou, les rues Néricault-Destouche, Marceau et le boulevard Béranger. Maison à colombages, XVe, XVIe et XVIIIe s., 23 place Foire-le-Roi, Place Foire-le-Roi, venelle du Coeur-Navré. Axe majeur nord-sud de 6 kilomètres de la traversée de la ville, conçu et réalisé par François Pierre du Cluzel[146], intendant de la Généralité de Tours dès 1767 et Jean-Baptiste de Voglie. Un bourg se constitue au début du VIIIe siècle autour de la basilique, le pèlerinage sur le tombeau du saint attire toute une population de marchands et d’artisans. Le vieux Tours s'articule autour d'une seule et même place baptisée place Plumereau. Au XIIIe siècle le château et la cathédrale sont reconstruits à l’initiative du roi Louis IX. Les raids normands du IXe siècle obligent les chanoines à faire édifier un castrum pour protéger une partie du quartier, reconstruit en pierre vers la fin du Xe siècle : c'est le mur de Châteauneuf. En 1958, malgré l'intervention de monsieur Pierre Boille, deux belles maisons à pan de bois du XVe siècle, les 15 et 13 de la place[185], furent détruites par leurs propriétaires. Très beau jardin de Tours, le Parc des Prébendes d'Oé est une vraie perle à l'anglaise non loin de la Gare. La rue Briçonnet fut la première à bénéficier de la restauration-rénovation lancée dès 1960 et rendue nécessaire par la situation désastreuse des quartiers historiques de la ville de Tours, que l'on voit surtout à l'époque comme des quartiers et îlots insalubres à démolir. On pouvait voir d'autres hôtels aux no 23, no 29 et surtout au no 35 où se trouve encore aujourd'hui le seul hôtel encore existant de cette triste énumération d'un patrimoine disparu, l'hôtel Goüin, probablement construit par Jean Barguin et Nicolas Gaudin transformé par René Gardette, comme un " arc de triomphe Renaissance", unique en France et en Italie [97]. Les habitants de Tours se nomment les Tourangeaux et Tourangelles. Le coté est de la place du no 02 au no 12 est un ensemble de maison entièrement construites en pierre de tuffeau de la deuxième partie du XVIIIe siècle. Les Jacobins au nord de la rue Colbert[27], Les Cordeliers rue de la Scellerie [28], Les Augustins[29], rue de la Galère, aujourd'hui rue Marceau, et les Carmes, rue des Carmes[30]. Le premier projet ne sera pas réalisé et l’intérêt du patrimoine apparaît dans le second projet en 1933 : il marque par une nouvelle approche et préfigure les futurs Secteurs sauvegardés. Les libertés communales ne sont reconstituées par Philippe Auguste que par le rattachement de la Touraine à la couronne de France. La place Plumereau portait autrefois le nom de place Saint-Pierre car sur le coté nord de la place se trouvait la grande église Saint-Pierre-le-Puellier, construction du XIIe siècle et XIVe siècle[161]. Le couvent des Visitandines fondé en 1633 et consacré en 1639, construit par Jacques Lemercier, sera le plus vaste enclos religieux intra muros de la ville. Une porte fortifiée du XIe siècle de l'enceinte de Châteauneuf dite de Saint-Denis en référence à l'église Saint-Denis toute proche fermait la rue du change au niveau des actuelles maisons des no 8 et no 5, Les arrêtés d'octobre et novembre 1806 en prescrivirent sa démolition pour améliorer la circulation de la rue, Le plan d'alignement de la rue de 1818 approuvé par ordonnance royale du 2 août 1820 constate que le portail au milieu de la rue a été démoli depuis peu L’architecte dessine des îlots composés de cellules semblables assemblées en longues bandes accompagnées d’immeubles-tours. La place était encadrée par deux palais, celui de l'ouest qui sera construit de 1776 à 1784 et qui deviendra l'hôtel de Ville[150] puis bibliothèque municipale en 1904. a bien été enregistrée. Au no 92 maison du XVe siècle avec façade néoclassique sur la rue, avec dans sa cour intérieure un système complet d'escalier galerie fermée du XVe siècle. En 1883, l'église Saint-Clément est démolie pour agrandir les Halles[17]. Le nom de la rue du Change apparaît dans les textes[125] manuscrits entre le XIIIe siècle, la porta Cambiorum et le XIVe siècle Le haut barrage d’Assouan mesure 3 600 mètres de long et 111 mètres de haut. Aujourd'hui, la tradition des marchés sur la place se perpétue par la Foire à l'ail et au basilic tout à fait exceptionnelle de la Sainte Anne, qui a lieu le 26 juillet. Avis voyageurs et promos! et Saint-Symphorien sont annexées à la commune de tours et la cession de terrains au sud du cher par Saint-Avertin et Joué-lès-Tours double la surface de la ville. Le 1er septembre 1944, la ville libérée n’est qu’un amas de décombres, avec 8 499 bâtiments totalement sinistrés. En face de la rue Barbes les no 25,27,29, bâtisses du XVIIe siècle trop remaniées au XXe siècle. En janvier 1941, Camille Lefèvre est nommé architecte en chef de la reconstruction de Tours[56]. Pierre Audin, le quartier de la rue du Commerce, page 38. Le vieux Tours. Vers l’an mil, la Cité est le siège du pouvoir politique et épiscopal de la ville. Au début du XIIe siècle, des maisons de bois sont signalées sur les remparts et dans les fossés ; des bourgeois de Saint-Martin commencent à se faire construire des maisons en pierre, dont certaines, à plusieurs étages, à la manière italienne : les maisons-tours[Gal 4], parmi lesquelles la Tour Foubert, aujourd'hui détruite. Le côté est de la place présente, entre les nos 54 et 56 le portail d'entrée principal de l'hôtel des trésoriers de Saint-Martin du XVe siècle classé le 19 février 1916[Jea 5], à la suite, du nos 54 au 38 grand et rare ensemble immobilier de maisons à boutiques et grandes arcades en rez-de-chaussée du XVIIe siècle en pierre de tuffeau, réalisé dans le périmètre de l'hôtel des trésoriers de Saint-Martin entre la rue des Halles anciennement de Racan et la rue de la Longue-Échelle. La succession d’élargissements et de créations de voirie prévus dans le quartier Saint-Martin auraient entraîné la disparition d’une grande partie du bâti d’origine médiévale et Renaissance de la ville. [75], En plein dans le Vieux-Tours, la place Plumereau est certainement la plus belle, et la plus animée de Tours. Le quartier actuel de la cathédrale Saint-Gatien n'est autre que l'un des vieux quartiers de la ville de Tours. Les bières de fabrication locale et les tapas islandaises constituent un départ parfait pour une soirée de sortie ! La ville romaine de Caesarodunum, ancienne ville de Tours, avait du Ier siècle au IIIe siècle son centre aussi sur cette place, la fameuse Colline de César qui dominait certainement la ville antique. Situé dans le département d'Indre-et-Loire, Tours (37000) est la commune la plus importante de la région Centre-Val de Loire avec 136 565 habitants au dernier recensement. La rue Royale, aujourd'hui la rue Nationale[145] et le dernier maillon après l'avenue de Grammont Au no 17 se trouvait une très grande maison en bois dite la Maison Bleu remarquable construction du XVe siècle ( elle portait ce nom car elle était entièrement recouverte d'ardoise), elle a été reconstruite à la moderne en 1930 [172]. Au XIIIe siècle, le château de Tours est édifié sur le château comtal à l’initiative du roi de France Saint Louis. Le 8 novembre 853, les Normands attaquent le Bourg Martin et la Cité, toutes les églises sont incendiées. Vendu en janvier 1798, une partie de l'ancien couvent aujourd'hui au no 72 rue Georges Courteline est devenu loge maçonnique[12]. Le 30 juin 903 les Normands incendient le bourg Saint-Martin et l'abbaye Saint-Julien ; ils donnent l'assaut à la Cité où tous les habitants et les chanoines se sont réfugiés dans l'enceinte romaine. Situation; Situation. Cet hôtel seul exemple connu à Tours d'architecture flamande, possède dans sa cour intérieure des dictions sculptés dont priez dieu pure ou beaucoup vivrons peu aurons elle renferme aussi une très haute tourelle d'escalier en brique en Vis de Saint-Gilles avec un belvédère à son sommet [139]. Celui de l'est prévu pour l'abbaye de Saint-Julien dans les plans de Jean Cadet de Limay, ne sera réalisé et terminé qu'au XIXe siècle par Bernard Mathias Guérin architecte et père de Gustave Guérin et Aignan-Robert Cadet de Limay fils de Jean qui terminera le travail de son père[151]. La rue Albert-Thomas rencontre à la suite, la place des Petites Boucherie où se trouve au no 2 bis, une Venelle qui montre dans la cour intérieure un ensemble complet de maisons en bois du XVe siècle avec leurs tourelles d'escaliers à colombages. Délimitant la bordure sud de la place Plumereau et suivant un axe est-ouest, la rue du Grand-Marché abrite onze monuments inscrits ou classés au titre des monuments historiques. En face au no 16 l'hôtel Pierre du Puy remarquable construction de la toute fin du XVe siècle, entièrement réalisé en brique avec Chaînage en pierre de tuffeau avec son haut pignon à redents ou pignon à gradins. La carte ci-dessus présente le lieu Vieux Tour (Tours, Tours) ainsi que les sites touristiques intéressants dans les environs (Jardin des Prébendes d'Oé, Quartier St-Julien, Ville de Tours, Place de Châteauneuf, Musée des Beaux-Arts - Tours, Quartier de la Cathédrale, Place Plumereau, …). PLAN DU CENTRE-VILLE VISITES, DÉCOUVERTES lilletourism.com LE VIEUX-LILLE THE OLD LILLE LES BALADES GOURMANDES CITY PASS CITY TOUR CITY TOUR BY COACH LE BEFFROI DE L’HÔTEL DE VILLE DE LILLE THE LILLE TOWN HALL BELFRY Partez à la découverte des quartiers anciens et appréciez les charmes d’une cité animée et accueillante. Les constructions de grands ensembles durant les Trente Glorieuses offrent à la ville de nombreux nouveaux quartiers, comme le Sanitas, les Fontaines, Europe ou les Rives du Cher2. Les premiers travaux de restauration dans le Vieux-Tours débutent en 1961 par le quartier Saint-Martin sous la direction de Pierre Boille et sous l'impulsion du maire de Tours de l'époque, Jean Royer[62],[63]. L'arrêté municipal du 10 août 1816, la nomma rue du Grand-Marché, car elle avait en particulier le commerce des légumes et des fruits[74]. Date: 5 juillet 1783: Source: archives du département d'Indre et Loire, Plan fayot, 1783: Auteur: Pierre Louis FAYOT: Conditions d’utilisation. Le 19 juin 1940, des obus et des balles traçantes allemandes de la Wehrmacht incendient les premiers bâtiments de part et d’autre du pont Wilson, et dans l'impossibilité de le combattre, les canalisations d'eau ayant sauté, le feu se propage dans tout le quartier nord de la rue Nationale jusqu’au 21 juin [52], à la fin des combats. Courtyards and Traboules of Vieux-Lyon - 69005 Lyon 5ème ... - 2 Place du Gouvernement in 10 quai Romain Rolland. La loi du 7 juillet 2016 relative à la liberté de la création, à l'architecture et au patrimoine a transformé le PSMV de la ville de Tours en Site patrimonial remarquable. Les bombardements de 1940 ont détruit toute la partie ouest de la rue du no 1 au no 17 côté sud, du no 2 au no 44 côté nord en faisant disparaître notamment au no 5 l'hôtel Langes des Bernière d'époque Louis XV[102] et au no 11 l'hôtel de Jean de Dunois construit au milieu du XVe siècle, qui avait été donné par Louise de Savoie en 1517 à Jacques de Beaune[103]. Le couvent des Augustins transformé en imprimerie dès le début du XIXe siècle sera détruit par les bombardements de juin 1940. Au niveau du no 54, la rue de la Moquerie où se trouve au no 17 un des derniers jeux de paume du XVIe siècle. Le périmètre inscrit au patrimoine mondial UNESCO sur la commune de Tours comprend : les quais et les coteaux en rive droite de la Loire de l'abbaye de Marmoutier à la commune de Saint-Cyr-sur-Loire et la ville historique au sud de la Loire délimités par son enceinte[71] du XVIIe siècle, aujourd'hui les boulevards Heurteloup, Béranger et la rue Léon Boyer. La rue Albert Thomas présentait au nord à l'angle de la rue Lavoisier, anciennement carrefour des Arcis, un ensemble de constructions du Moyen Âge connu comme l'ancienne prison, qui avait englobé une tour de l'enceinte romaine, c'est dans ses murs le jour de la Saint-Barthélemy en 1572 que furent enfermés, par précaution, les protestants de la ville, pour éviter leur extermination[114]. La délibération du 10 août 1818, lui maintenait son nom de rue de la Caserne et la délibération municipale du 8 juillet 1932, la nomma rue Albert-Thomas[Den 9]. Hôtel XVe s. La rue Briçonnet présente au sud au no 36 un ensemble de deux maisons du premier quart du XIXe siècle construites avec une partie des pierres de l'église Saint-Pierre-le-Puellier démolie vers le début du XIXe siècle et dont la façade ouest se trouvait à cet emplacement, on peut toujours voir au no 34 le passage voûté du XIVe siècle qui reliait le cloître à la rue. La place se fermait à l'est aujourd'hui le no 5 par l'église Notre-Dame de l'écrignole [179]. Find local businesses, view maps and get driving directions in Google Maps. 77-79 rue des Halles, fin XVIIIe s., à l' emplacement de l'église Notre-Dame-de-l'Écrignole. C'est en 1863 que le projet est réalisé par la construction sur le modèle des Halles de Paris de deux halles en pavillon d'architecture métallique par Gustave Guérin [16]. Au XIe siècle, une nouvelle basilique Saint-Martin est reconstruite. Le grand couvent de l'ordre des Minimes fondé par François de Paule dans le parc du château de Plessis-lèz-Tours pose la première pierre d'un nouveau couvent dans le centre de la ville en 1627, aujourd'hui entre les 3 bis rue de la Préfecture et le 12 rue des Minimes. En 1356, le bourg est réuni dans une enceinte commune dite la clouaison, qui sera unifiée en 1462 par la création de la municipalité de Tours. Elles ont pour la plupart 2 à 3 niveaux de caves gothiques, dont celle du no 80 qui est classée le 3 février 1966[Gal 8]. En face entre les nos 10 et 16 se trouvait l'église Saint-Saturnin du XVIe siècle, la paroisse la plus riche de Tours[95], transformée en habitation au XIXe siècle; il n'en reste que l'inscription funéraire de Katherine Briçonnet, constructrice de Chenonceau[Rob 4]. En 1948, le coefficient de destruction de la ville était estimé à 58 % et, rien que dans les quartiers les plus anciens, au nord, particulièrement touchés, plus de 2 500 bâtiments ont été détruits ou endommagés entre 1940 et 1944 [59]. La place fut aussi le centre du quartier Saint-Gatien qui correspond au périmètre de la cité gallo-romaine, qui va se rétracter et prendre un autre développement dans un castrum à partir du IVe siècle, à l’intérieur de son enceinte gallo-romaine. Le nom de la rue du Change vient des tables et ateliers des changeurs et orfèvres de la monnaie à Tours, établis dans la rue et ses entours[Den 10]. Ses principales rues médiévales reprennent le tracé des decumanus et cardo de la cité antique de Caesarodunum : la voie est-ouest, les actuelles rues Colbert et du Commerce doublée par un second axe également est-ouest, les actuelle rues de la Scellerie, des Halles[25]. Le couvent des Jacobins accueille les chevaux de l’artillerie en 1794 ; il sera entièrement détruit le 15 juin 1944 par les bombardements. Ses différents noms de par le temps donnent une image fidèle qu'elle conserve encore aujourd'hui comme la rue des restaurants. Le Vieux Tour côté jardin; Newsletter; Soyez les bienvenus à l’auberge du Vieux Tour, Franck et Muriel Dugast. Situé à proximité des berges de la Loire, le faubourg est habité par une population de bateliers, mais aussi de commerçants tenant boutique au rez-de-chaussée de leurs maisons. Au sud, le faubourg Saint-Éloi[10] est également incorporé à la ville, c'est aujourd'hui la rue Jules-Charpentier. La forme de la place Grégoire-de-Tours peut être plus facilement définie par les bâtiments du XIIe siècle au XVIe siècle qui entourent encore la place et forment le lieu le plus évocateur du Moyen Âge à Tours[Rob 8]. De retour rue Albert-Thomas, au no 21 double pignon d'une bâtisse du XIVe siècle qui voisine avec une grande maison du XIIIe siècle très remaniée au siècle suivant au no 23, avec sa façade en pierres taillées en carré, trait caractéristique du Moyen Âge, la maison construite sur sa façade sud et donnant sur le jardin fut transformée au XIXe siècle, elle porte aujourd'hui le nom de maison François 1er construction néo-gothique donnant rue Racine. Le Vieux-Tours est un terme générique pour définir un ensemble de quartiers ou bourgs qui se sont réunis au cours du temps pour former le centre historique de la ville de Tours. Les premières mentions du Bourg Saint-Martin dates de 837, des actes de Charles le Chauve sont souscrits in monasterio Sancti Martini en 845. Tours représente souvent le point de départ pour les amoureux [...], La place de Châteauneuf s'est développée au nord de l'abbaye Saint-Martin, au pied de la Tour Charlemagne, de l'Hôtel des Ducs de Touraine et de l'Eglise Saint-Denis. terme plus souvent utilisé dans les documents anciens, opinion citée, Art et société à Tours au début de la renaissance, page 18. terme plus souvent utilisé dans les documents anciens, opinion citée, Art et société à Tours au début de la renaissance, page 19, les archives du sol à Tours, Henri Galinié, page 16, mai 1979 LA SIMARRE, p. 53,les plans types, chapitre 2, Martine Bonnin et Bernard Toulier, MSAT 1980 TOME X, ADEAUT atelier histoire de tours 1988 page 9, p. 16, les cahiers du patrimoines, ville de Tours, La cathédrale de Tours 2010 page 50, Claude Andrault-Schmitt. Ce quartier porte encore énormément les stigmates des bombardements, mais [...], Capitale de la Touraine, venez découvrir la charmante ville de Tours. La cour intérieur de ces maisons renferme un ensemble assez remarquable du XVe siècle et XVIe siècle avec sa grande tour d'escalier en pierre, un monument historique très peu connu des Tourangeaux, le grenier à sel de la Grande-Rue [108]. Au no 3 rue de la Préfecture, la façade d'architecture classique montre le XVIIIe siècle et le XIXe siècle, Jean Carmet et Jacques Villeret en furent élèves au no 14 rue Briçonnet [141] et Au XVIIe siècle, elle prendra le nom de place d'Aumont, voulu par les Tourangeaux en mémoire de César, marquis d’Aumont, gouverneur de Touraine. Le bâtiment de casernement du château de Tours construit dans la première partie du XIXe siècle a pris sa place. Quartiers du Vieux-Tours Métadonnées Ce fichier contient des informations supplémentaires, probablement ajoutées par l'appareil photo numérique ou le numériseur utilisé pour le créer. Ce classement signifie que le Val de Loire, bien naturel et culturel, a une valeur universelle, exceptionnelle dont la perte serait irremplaçable pour la mémoire collective de l’Humanité. La maison XVe siècle et XVIe siècle à l'angle de la place au sud, au no 59 avec son bardage en ardoise recouvre entièrement la maison [173]. vieux tours Nous avons travaillé en collaboration avec l’association des commerçants du quartier du Vieux Tours pendant près d’un an. [82] ou l'hôtel dit des trois anges au no 29 également du XVe siècle avec sa cour intérieure[83], le très grand hôtel Renaissance du XVIe siècle au no 33 très remanié au XIXe siècle[84] et dans la cour du no 39 un ensemble complet d'architecture tourangelle qui va du XIIe siècle avec une maison-tour, un hôtel en pierre XVe siècle et des escaliers-galeries en bois du XVIe siècle[85]. La commune de Tours figure dans ce classement. Ce ruau Sainte-Anne constitue la limite ouest du quartier Notre-Dame-la-Riche [8]. Vous trouverez cet établissement au 4 Place De La Liber ... L’hôtel Residhome Tours Léonard De Vinci est bien placé dans le centre-ville, près du Vieux Tour ... L’hôtel de Rosny se trouve en plein centre-ville, près de la gare de tour et du palais des congr ... 22 hôtels Tours. Ancienne partie de la Grande-Rue longue de 270 mètres entre le carroi Saint-Pierre (aujourd'hui place Plumereau) et la place de la Victoire, la rue a conservé en grande partie sa largeur d'origine. La rue Albert-Thomas, ancienne partie de la grande rue, longue de 275 mètres, a conservé en partie sa largeur d'origine. L'église du couvent des Cordeliers devient salle de spectacle, puis est démolie : c'est le Grand Théâtre actuel. Le quartier Notre-Dame-la-Riche est le prolongement du decumanus de Caesarodunum vers l’ouest, où vont se constituer les faubourgs médiévaux de la Riche, près du cimetière des chrétiens du Bas-Empire [4]. Le 12 février 1962, le conseil municipal approuve la proposition du maire de fonder la Société d’économie mixte de restauration de la ville de Tours (SEMIREVIT) , auprès de laquelle Pierre Boille exercera la fonction d’architecte conseil[64] jusqu’en 1973, date de création du Plan de Sauvegarde et de Mise en Valeur. La Révolution française transforme la ville en commune : le faubourg Saint-Symphorien-des-Ponts-de-Tours ancienne paroisse sur la rive nord de la Loire entre le pont neuf et le pont vieux est inséré dans la commune de Tours. 28 rue Briçonnet. À l'angle du nos 51 la rue de la Serpe, nom connu depuis le XVe siècle ou se trouve au no 3 et no 5 l'hôtel dit de Jehan Bourdichon du XVe siècle et XVIe siècle avec escalier-galerie du À partir du XIe siècle, une nouvelle basilique est construite, remaniée en plan comme en élévation dans le dernier quart du XIIe. Le quartier Saint-Gatien ou la Cité est le premier noyau constitué qui correspond à un périmètre de Caesarodunum, qui va prendre un nouvel essor et se développer dans un castrum à partir du IVe siècle. et l'Hôtel des ducs de Touraine, le Palais des Duc de Touraine. La maison du no 26 du XVIe siècle a conservé sa structure en bois avec dans la cour un escalier-galerie du XVIIe siècle, la façade en pierre sur rue fut [Den 11]. Le plan d'alignement des rues de la ville de Tours de 1818 fut approuvé par ordonnance royale du 2 août 1820, la place devait donc être agrandie, tout le côté sud jusqu'à la rue de la Rôtisserie devait être démoli. Le palais en partie reconstruit au XVIIe siècle et au XVIIIe siècle deviendra à la Révolution le musée des Beaux-Arts[42]. Il comprend 50 chambres sp ... L’Hôtel Trianon Tours se situe dans le centre ville de Tours, et proche de la gare. De 1867 à 1873, la cité de la maison Mame est construite par l'architecte Henri Racine, composées d'un ensemble en pierre et brique de 62 maisons individuelles, autour d'une place centrale [21]. Le Val de Loire a été classé sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO le 30 novembre 2000, en tant que paysage culturel vivant, de Sully-sur-Loire à Chalonnes-sur-Loire. Dès 1790, la place d’Aumont s'agrandit au nord par la suppression de l'église Saint-Simple, aujourd'hui 18 place Gaston-Pailhou [14] ; la ville achète en 1792 l'église Saint-Clément pour servir de halle aux blé [15]. Ce mardi, s'ouvre le procès du meurtre du vieux Tours devant la cour d'assises d'Indre-et-Loire. Au XIe siècle, pour fortifier le pont de Eudes II de Blois en réutilisant les fortifications gallo-romaine de l'angle nord-ouest, un grand château comtal est édifié par Geoffroy Martel, comte de Tours, composé d'une grande tour carrée de trois ou quatre étages, reliée à une grande salle rectangulaire résidentielle de 28 m de long sur 8 m de large ayant deux étages. La place devant la cathédrale est aménagée par la démolition des bâtiments de l’hôtel-Dieu. reconstruite au XVIIIe siècle, celle du no 22 a la particularité d'avoir un escalier-galerie intérieur à balustres en spirale [135]. Le 1 septembre 1944, la ville libérée n’est qu’un amas de décombres, avec 8 … a bien été Toute la partie nord de la rue jusqu'à la Loire a été entièrement détruite sur 400 mètres par l'incendie de 1940. We recommend booking Marche du Vieux-Port de Quebec tours ahead of time to secure your spot. En 1520, François Ier ordonne la construction d'une nouvelle enceinte pour améliorer le problème de l'extension de la ville, enceinte qui ne sera vraiment commencée que par ordre d'Henri IV et terminée en 1690[Jea 1]. À l'angle, la rue Briçonnet rencontre la rue des Cerisiers connu sous ce nom depuis le début du XVe siècle et au no 1 de cette rue qui est le no 19 de la rue Briçonnet, la fameuse Auberge des Trois Pucelles maison à pans de bois du XVe siècle The essential pass to cultural activities in Lyon: museums, guided tours, boat cruises and more!. Du no 129 au no 135 4 maisons du XVe siècle à colombages réunies par une façade en pierre, formule très courante à Tours au XVIIIe siècle, avec escalier-galerie dans la cour. Pendant la Révolution elle portait le nom de rue Bonneau, l'arrêté préfectoral du 15 juillet 1808 rue de Saint-Cloud, l'arrêté du 10 août 1816 lui rendit son nom de la Rôtisserie, qui provient sans doute d'une enseigne du XVe siècle[Den 14]. Les années 1960 permettent à la ville de s'étendre vers le sud et le nord en absorbant tout ou parties des communes avoisinantes. L’étude est présentée en octobre 1960 à Jean Royer qui est convaincu de la démarche, puis adressée au Premier ministre, Michel Debré. Il y impose l’usage exclusif de matériaux traditionnels de la région, une tonalité générale des badigeons de façade, l’interdiction du parpaing et du béton. À la suite de l'église au no 10 se trouvait l'hôtel Gazil[96] de la fin du XVIe siècle avec sa galerie de 7 arcades[Den 6]. Au sud, entre les rues de la Bourde, faubourg Saint-Éloi, aujourd'hui rue Jules-Charpentier, une cité ouvrière se structure. En 1958, la ville s’engage dans une démolition en règle des quartiers anciens. Ce portail se trouvait tout près du no 19 de la rue Albert-Thomas, hôtel en pierre du XVe siècle, très remanié aux siècles suivant mais qui a gardé sur la rue sa tourelle d'escalier dans son angle. En application de la loi Cornudet du 14 mars 1919 imposant l’établissement d’un plan d’aménagement, d’embellissement et d’extension (PAEE) pour les villes de plus de 10 000 habitants, un avant-projet est réalisé pour Tours au début des années 1930. L'église Saint-François en 1910, entièrement détruite en 1940. Vieux Tours Tours 37000 TOURS La Ville de Tours, capitale touristique du Val de Loire, lance le Parcours Lumière « Vieux-Tours ». La place est enveloppée au nord par un ensemble monumental entre la rue du Change, l'église Saint-Denis Jeanson Denis, in Sites et monuments du grand Tours, Astragale, Tours, 1973. Sensible au patrimoine architectural et archéologique de Tours, il reprend le principe d’une zone archéologique dans son programme d’aménagement approuvé le 20 octobre 1947. Le chantier de déblaiement et de démolition des ruines commence en juillet 1940, sans aucune tentative de sauvegarde ou de relevé architectural, et s’achèvera en novembre 1941 par les dernières façades encore debout, celles de l’ancien Hôtel de Ville et de l’ancien Muséum d’histoire naturelle. Du VIe au XIe siècle, de très nombreux édifices religieux se construisent autour de la basilique, Saint-Clément, Saint-Simple, Notre-Dame-de-l'Éclignole, Saint-Pierre-du-Chardonnet, Saint-Pierre-le-Puellier. En face au no 35 immeuble de la fin du XVIIIe siècle qui enserre sur le no 2 rue du Poirier, la façade d'une maison du XIIe siècle [129]. À l'extrémité ouest s'élevait la petite église Saint-Michel, détruite en 1730, dont le carrefour dit des orfèvres ou des quenouilles ancien cimetière, devenu une petite place, en garde le souvenir[Den 5], de belles maisons en pierre XVIIIe siècle ont été construites sur une partie de cet ancien cimetière, leurs façades entre les no 106 et no 112, montrent leurs balcons en fer forgé et leurs décors de losanges sculptés[99] et en face au no 91, 89 deux maisons début XVIe siècle, fortement remaniées au XVIIIe siècle pour sa façade sur rue reconstruite, qui a gardé à l'angle de la rue de la Paix, son poteau cornier décoré qui soutenait jadis sa façade à colombages. Le quartier au XIe siècle présente une zone peu urbanisée entre quatre établissements religieux : la basilique Saint-Martin à l’est, le prieuré Saint-Éloi au sud et les prieurés Sainte-Anne et Saint-Cosme à l'ouest.