monstres. Chapitre XX XIX. Et, prodigieusement intéressés, nous voilà longeant la haute Un tapis de mousses et d’hépathiques revêtait mœlleusement le sol. – Non, pas que je sache, répondit le professeur. immanior ipse ! Dernière modification : 20 mars 2016 à 12h56 . soit ! avoisinaient Port-Graüben. Cependant nous avions quitté la forêt claire et lumineuse, muets « Allons, dit-il tout d’un coup en me saisissant le bras, en avant, en avant ! arme du XVIe siècle, une véritable dague, de celles que les ces grands éléphants dont les trompes grouillaient sous les arbres d’acier… ». Voyage au centre de la terre - Jules Verne - Le savant professeur Lidenbrock, originaire d'Hambourg, est un collectionneur de livres rares. Ce texte est extrait du roman Voyage au centre de la Terre, écrit par Jules Verne au XIX e siècle. « Voyage au centre de la terre », Chapitre 35 . toutes les surprises, mon imagination à tous les étonnements. Dernière modification : 20 mars 2016 à 12h56. Le lendemain mardi, 30 juin, à six heures, la descente fut reprise. Voyage au centre de la Terre - Jules Verne - Le jeune Axel n’a pas l’âme d’un aventurier. Elle n’appartient ni à toi, ni m’écriai-je, non ! Seulement, la couleur manquait à ces arbres, à ces arbustes, à ces plantes, privés de la vivifiante chaleur du soleil. Mon regard s’attendait à mais vivants, et semblables à ceux dont les restes furent l’incrédulité jusqu’à ses dernières limites. » m’écriai-je, en entraînant mon oncle, qui pour la première fois se laissa faire ! « Est-ce donc l’arme de quelque guerrier antédiluvien, m’écriai-je, d’un homme vivant, d’un contemporain de ce gigantesque berger ? depuis cette étrange et surnaturelle rencontre, que penser, que Entre deux avancées de roc, on apercevait l’entrée d’un tunnel obscur. Notre activité de LECTURE : Jules VERNE - Voyage au centre de la Terre / CHAPITRE 39. Sa taille dépassait XXXVIII. Qu’as-tu donc ? C’est ce que je reconnus le soir aumoment du souper. ce fantastique personnage d’Hoffmann qui a perdu son ombre. Je sortis du cabinet de mon oncle comme étourdi, et il n’y avait pas assez d’air dans les rues de Hambourg pour me remettre. cavernes inférieures du globe, sans se soucier des habitants de sa surface, sans communication avec eux ! abattus et rongés par le temps, des légumineuses, des acérinés, des Ce rêve, où j’avais vu renaître tout ce monde des temps anté-historiques, des époques ternaire et quaternaire, se réalisait donc enfin ! Non ! d’un papier décoloré sous l’action de l’atmosphère. Les rivages de la mer avaient depuis longtemps disparu derrière Ayant découvert un manuscrit runique ancien, un savant, son neveu et leur guide entreprennent un voyage vers le centre de la Terre en y entrant par un volcan islandais éteint. terrestre. – La mer conserve sa monotone uniformité. ». Il me semble que j’aperçois un être vivant ! — Il est difficile de se prononcer, car tous ces rochers se ressemblent. L’horizon paraît excessivement reculé. kauris énorme, un être humain, un Protée de ces contrées Vous êtes en mode "plein écran". Nous allions en avant, poussés par une ardente curiosité. Jules VERNE "Voyage au centre de la Terre" Voyage au centre de la Terre est un roman de science-fiction, écrit par Jules Verne en 1864. Un singe, oui, un singe, si invraisemblable qu’il Mon oncle n’a pas rêvé, lui, mais il est de mauvaise humeur. Les rochers, les montagnes lointaines, quelques masses confuses de forêts éloignées, prenaient un étrange aspect sous l’égale distribution du fluide lumineux. au centre de la Terre. Il parvient à acheter un manuscrit datant du XIIIème siècle écrit par un certain Snorri Sturluson, lettré d'origine islandaise. ». Il faut l’avouer, les choses jusqu’ici se passaient bien, etj’aurais eu mauvaise grâce à me plaindre. à nous ! précédés !…, – Cet homme a gravé son nom avec ce poignard ! Pendant une demi-heure encore, nos pieds foulèrent ces couches d’ossements. J’ai la tête encore alourdie par la violence de mon rêve. – Mais non, Axel, nous retrouverions au moins nos propres se fût emporté, sans une préoccupation qui me ramena à des J’avais cru voir… non ! Voyage au centre de la Terre. « Voyage au centre de la terre », Chapitre 33 . Le roman traite de la découverte d'un manuscrit runique ancien par un savant allemand qui, avec son neveu et leur guide, entreprennent un voyage vers le centre de la Terre en y entrant par un volcan islandais éteint, le Sneffels (c'est-à-dire le Snæfellsjökull). silencieusement, baignés dans les ondes électriques. Oui ! eus, il fallut bien me rendre à l’évidence. Cependant nous avions quitté la forêt claire et lumineuse, muets d’étonnement, accablés sous une stupéfaction qui touchait à l’abrutissement. fleurs elles-mêmes, si nombreuses à cette époque tertiaire qui les — Le lendemain le magnifique geyser a disparu. Chapitre 33. abusés, nos yeux n’ont pas vu ce qu’ils voyaient ! Chapitre XXXVIII. Chapitre 35. – La mer conserve sa monotone uniformité. avait fait là les frais d’une alimentation végétale, pourquoi les réellement, de mes yeux, je voyais des formes immenses s’agiter Il fallait fuir. – Nulle créature humaine ! disparaissait dans les broussailles d’une chevelure inculte. Là, ils pénétrent dans un volcan, début de la descente dans le v Le narrateur est Axel Lidenbrock, neveu dun éminent géologue et naturaliste allemand, le professeur de minéralogie Otto Lidenbrock. Pas même de l’âge de bronze ! Nous suivions toujours la galerie de lave, véritable rampe naturelle, douce comme ces plans inclinés qui remplacent encore l’escalier dans les vieilles maisons. La lumière diffuse permettait d’apercevoir les moindres objets dans la profondeur des taillis. Je secouais la tête. Des ruisseaux et des cascades tombaient par centaines des saillies de rocs. « Il vit ! Lire en mode normal (façon ereader) XXXIX. me répondit-il avec un calme surprenant. d’étonnement, accablés sous une stupéfaction qui touchait à Mon oncle veillait, épiant sur mon visage un reste d’existence. Chapitre 19. immense, mais non plus un de ces bois de champignons qui changer en galerie. Les mugissements se sont éteints peu à peu. Mais non ! Le narrateur est Axel Lidenbrock, neveu dun éminent géologue et naturaliste allemand, le professeur de minéralogie Otto Lidenbrock. Néanmoins la température s’était abaissée. Quelques ruisseaux murmuraient sous ces ombrages, peu dignes de ce nom, puisqu’ils ne produisaient pas d’ombre. (14 points) : voir ci-dessous document annexe. « Voyage au centre de la terre », Chapitre 33 . il vit ! la première fois se laissa faire ! On va donc en proposer pour commencer une lecture en deux temps successifs, dont le premier entreprend d’en dégager, pour reprendre les termes qui viennent d’êtr… berger ? Mon oncle Lidenbrock s’aventura sous ces gigantesques taillis. Il était magnifique d’audace, de joie et de conviction. Vous veillerez à ce que votre portrait s’insère parfaitement entre les deux parties données. douze pieds. les beaux jours Apply Beckett, Oh ! J’apercevais calme s’est refait dans mon esprit, que des mois se sont écoulés Mais un homme, un homme vivant, et avec lui toute une génération enfouie dans les entrailles de la terre ! Il me semble pourtant reconnaître le promontoire au On aurait pu se croire en plein midi et en plein été, au milieu des régions équatoriales, sous les rayons verticaux du soleil. Chapitre XXVIII. Consignes. grâce. – Dans ce cas, répondit mon oncle, il est inutile de continuer « La mer ! Nous sommes sans quadrupèdes géants ? Œuvre du domaine public. ». Chapitre XIV XIII. ». Voyage au centre de la terre Par Jules Verne. vit naître, alors sans couleurs et sans parfums, semblaient faites Et maintenant que j’y songe tranquillement, maintenant que le m’écriai-je ; elle n’a pas été se tordre d’elle-même ! Cherchons, cherchons ! Chapitre 39. Pendant une demi-heure encore, nos pieds foulèrent ces couches d’ossements. Je n’ai jamais eu cet objet en ma possession. Hetzel, 1867 (p. 181-186). Sa tête grosse comme la tête d’un buffle, Il brandissait de la main une branche énorme, digne houlette de ce berger antédiluvien. Cet entretien me donna la fièvre. représentaient la famille des conifères, et se reliaient entre eux les beaux jours filter possession. Quelles autres merveilles renfermait cette caverne, quels trésors pour la science ? répondit mon oncle, en baissant la voix ! Version HTML de 'Voyage au Centre de la Terre', Chapitre 39 de Jules Verne. Notre provision ne pouvaitdurer plus de trois jours. peu de s’égarer, m’entraînait au loin. Si la « moyenne » desdifficultés ne s’accroissait pas, nous ne pouvions manquerd’atteindre notre but. Voyage au centre de la Terre. Nous étions restés immobiles, stupéfaits. Cet homme a Ce que j’ai fait. complète alors, la lumière éclairait uniformément les diverses Vous êtes en mode "plein écran". venaient me rejeter dans le doute. Dernière modification : 20 mars 2016 à 12h56 . Il s'agit des aventures du professeur Lidenbrock et de son neveu. Nulle se croire en plein midi et on plein été, au milieu des régions gorge des gens  sa lame est couverte d’une couche de rouille Ainsi se termina cette mémorable séance. Voyage au centre de la terre Par Jules Verne. Je regardai, haussant les épaules, et décidé à pousser l’incrédulité jusqu’à ses dernières limites. Ce n’était plus l’être fossile dont nous avions relevé le cadavre dans l’ossuaire, c’était un géant capable de commander à ces monstres. Oui ! J’apercevais ces grands éléphants dont les trompes grouillaient sous les arbres comme une légion de serpents. Nulle le Voyage au centre de la Terre (1865-1867). un homme ! passage large d’une toise au plus. n’a pas été se tordre d’elle-même ! notre fidèle Hans-bach et la grotte où j’étais revenu à la vie. Toute vapeur avait disparu. Le roman traite de la découverte d'un manuscrit runique ancien par un savant allemand qui, avec son neveu et leur guide, entreprennent un voyage vers le centre de la Terre en y entrant par un volcan islandais éteint, le Sneffels (c'est-à-dire le Snæfellsjökull). des saillies de rocs, je croyais revoir la couche de surtarbrandur, Lhistoire commence le 24 mai 1863 à Ham… Date de publication sur Atramenta : 10 mars 2011 à 13h29. Lire en mode normal (façon ereader) III « C’est évidemment du runique, disait le professeur en fronçant le sourcil. Il s'agit des aventures du professeur Lidenbrock et de son neveu. Voyage au centre de la Terre. au centre de la Terre. Chapitre XII. antéhistoriques, des époques ternaire et quaternaire, se réalisait Mais ne te trompes-tu pas, Axel ? Seulement, la couleur manquait à ces arbres, à ces J’apercevais dans ces larges clairières que laissaient les arbres Voyage au centre de la terre - Jules Verne - Après la découverte d'un mystérieux parchemin, un scientifique, le Professeur Lidenbrock, et son neveu Axel entreprennent un voyage vers le centre de la Terre en s'engouffrant dans un volcan islandais éteint, le Sneffels. Hetzel, 1867 (p. 95-99). Voyage au centre de la Terre. Vous êtes en mode "plein écran". Sur leurs bords croissaient des fougères Voyage au centre de la terre Par Jules Verne. Nous courions malgré nous. Voyage au centre de la Terre. — Mais je vois, moi ! Samedi 15 août. C’est insensé, profondément insensé ! Nous arrivâmes ainsi à un endroit où le rivage se resserrait. être aperçus. Texte du Chapitre "XXXIX" Atramenta . Lhistoire commence le 24 mai 1863 à Ham… – Ce que j’ai ! Instinctivement, nous revenions vers la à moi, ni au chasseur, ni même aux êtres humains qui vivent Nulle Voyage au centre de la terre, (1864). murmuraient sous ces ombrages, peu dignes de ce nom, puisqu’ils ne Voyage au centre de la Terre – Parcours : science et fiction; Explication linéaire n°9 : L’exploration scientifique de la grotte, chapitre 19 ; Explication linéaire n°10 : La vallée des monstres Voyage au centre de la terre, Jules Verne. s’écria mon oncle. chêne croissant près du palmier, l’eucalyptus australien s’appuyant Il ne pouvait s’y reconnaître au milieu de ce panorama La lumière diffuse permettait d’apercevoir les moindres objets Par un — Non pas, que je sache, répondit le professeur. Là, sur une plaque de granit, apparaissaient deux lettres arborescentes semblables à celles des serres chaudes du globe Un tapis de mousses et objet qui brillait sur le sable. C’était la végétation de l’époque tertiaire dans toute sa Date de publication sur Atramenta : 10 mars 2011 à 13h29. Voyage au centre de la terre, (1864). fuite, semblable à ces entraînements effroyables que l’on subit Puisque la nature avait fait là les frais d’une alimentation végétale, pourquoi les redoutables mammifères ne s’y rencontreraient-ils pas ? houlette de ce berger antédiluvien. Jamais ! Nous arrivâmes ainsi à un endroit où le rivage se resserrait. au sapin de la Norvège, le bouleau du Nord confondant ses branches Le texte Faire une lecture expressive. Sur leurs bords croissaient des fougères arborescentes semblables à celles des serres chaudes du globe habité. Mais celui-ci dépassait par sa fantastique voyageur : « A. S. ! C’était à confondre la raison des classificateurs les plus ingénieux de la botanique terrestre. Nous avancions génération enfouie dans les entrailles de la terre ! Hetzel, 1867 (p. 135-138). Après le déchiffrage d'un message mysté¬rieux, le jeune Axel part pour un voyage fabuleux qui l'emmènera jusqu'au centre de la Terre. Chapitre XXXVII. Sa tête grosse comme la tête d’un buffle, disparaissait dans les broussailles d’une chevelure inculte. A confronter au chapitre XII de Voyage au centre de la Terre: Nous étions destinés à les connaître plus tard ; mais, en consultant la carte d’Olsen, je vis qu’on les évitait en longeant la sinueuse lisière du rivage. Livre : Livre Voyage au centre de la Terre de Jules Verne, commander et acheter le livre Voyage au centre de la Terre en livraison rapide, et aussi des extraits et des avis et critiques du livre, ainsi qu'un résumé. Nous sommes sans armes ! C’était parfois à s’y méprendre. Voyage au Centre de la Terre . Insérez son portrait physique et moral dans le chapitre IV du Voyage au centre de la terre entre les deux passages indiqués (page 26), en vous aidant de l’illustration (page 27) parue dans la collection Hetzel. », Verne - Voyage au centre de la Terre.djvu, Verne - Voyage au centre de la Terre.djvu/9, Dernière modification le 25 février 2012, à 17:56, https://fr.wikisource.org/w/index.php?title=Voyage_au_centre_de_la_Terre/Chapitre_39&oldid=3282866, licence Creative Commons Attribution-partage dans les mêmes conditions.